Shutterstock Shutterstock

« Il y a des activités illégales à grande échelle en continu, du brûlage sans surveillance à la pollution de l’eau », a déclaré le chef du Conseil du Gush Etzion au ministre.

Par JNS.org

Idit Silman du parti Likud a visité le Gush Etzion jeudi, lors de sa première visite en Judée-Samarie en tant que ministre de la protection de l’environnement.

La ministre a rencontré le conseil régional du Gush Etzion et le Président du conseil de Yesha, Shlomo Ne’eman, et des militants locaux auprès desquels elle a appris leurs luttes pour protéger l’environnement de la région des déprédations de l’Autorité palestinienne, selon un communiqué du conseil du Gush Etzion.

Ils ont informé Silman de la négligence de l’AP dans les zones B et C de Judée-Samarie, communément appelée Cisjordanie, notamment quant à la pollution de l’eau par les égouts et les problèmes d’ordures et de déchets.

« La lutte pour la qualité de vie et la qualité de l’environnement est une lutte pour la terre elle-même. Il y a des activités illégales à grande échelle qui se déroulent ici sans arrêt, du brûlage sans surveillance à la pollution de l’eau, des carrières illégales et la prise de contrôle illégale de zones ouvertes », a déclaré Ne’eman.

Silman a déclaré : « Le ministère de la Protection de l’environnement se battra pour la souveraineté et la gouvernance en Judée-Samarie. Nous le ferons en faisant progresser la législation qui renforce la surveillance environnementale et l’application des lois, tout en créant un effet dissuasif contre les crimes environnementaux. »

Le directeur adjoint de l’école de terrain de Kfar Etzion, Amichai Noam, a déclaré : « La visite de la ministre Silman, moins d’un mois après la prise de ses nouvelles fonctions, envoie une déclaration importante pour laquelle nous sommes reconnaissants. Nous soutenons la ministre, ainsi que le conseil régional du Gush Etzion et tous les conseils de Judée-Samarie, dans la résolution des problèmes environnementaux importants et la préservation de l’environnement pour les générations futures.

Il a été décidé que des réunions de suivi auraient lieu entre le cabinet du ministre et les responsables locaux de l’environnement.