Le second « journaliste » tué à la frontière avec Gaza était, lui aussi… un terroriste: Israël le prouve!

Une fois de plus, l’un des palestiniens tués lors de la « Marche du retour » n’était pas seulement journaliste… Mais également terroriste!

Par l’équipe d’Unis avec Israël

Un palestinien récemment tué au cours des violents incidents survenus à la frontière entre Gaza et Israël, désigné par la plupart des médias internationaux comme un journaliste ayant été tué en plein exercice de ses fonctions, était en réalité un terroriste.

Ahmed Abu Hussein a été tué au cours de la « Marche du retour » menée par le Hamas. Il a initialement été sérieusement blessé,  alors qu’il semblait à première vue couvrir, en sa qualité de journaliste, une manifestation proche de la barrière de sécurité dans la région de Jabalia.

Du fait de la nature complexe de ses blessures, il a tout d’abord été transféré vers un hôpital à Ramallah avant d’être reçu par l’unité de soins intensifs de l’hôpital Tel Hashomer près de Tel-aviv. Il a succombé à ses blessures au sein de l’hôpital israélien, et a été enterré à Gaza.

Le Centre d’Information sur les Renseignements et le Terrorisme Meir Amit a enquêté sur son identité, avant de révéler qu’en plus d’exercer pour certains médias, il était également membre de l’organisation terroriste Front Palestinien de Libération de la Palestine (FPLP).

L’aile militaire du FPLP a publié une annonce formelle de décès, expliquant que l’organisation pleurait la perte de son membre, Abu Hussein; des drapeaux rouges du FPLP ont été brandis lors de ses funérailles, et sa page Facebook a été inondée de publications à la gloire de l’organisation terroriste, de ses dirigeants et de ses attaques meurtrières, telles que l’assassinat du ministre israélien Rehavam Ze’evi en 2001.

Les Brigades Abu Ali Mustafa, la branche armée du FPLP, a également publié une annonce de décès sur son site, regrettant la mort de « the Shaheed (le martyre), le héros, le journaliste, Ahmed Abu Hussein », avant de s’en prendre aux « criminels sionistes, qui paieront le prix pour leurs crimes ».

De même, le « journaliste » travaillait pour la radio la Voix du Peuple, affiliée au FPLP.

Les médias pour camoufler le terrorisme

Ahmed Abu Hussein constitue le second journaliste tué au cours des émeutes palestiniennes près de la frontière. Le photographe de presse Yasser Martaja a été tué le 6 avril, alors qu’il couvrait la marche.

Tout comme Abu Hussein, Murtaja présentait une double identité: journaliste, et membre des forces de sécurité du Hamas.

Murtaja, 30 ans, est mort des suites d’une blessure par balle à la frontière avec Gaza au cours des manifestations du vendredi début avril. Les médias internationaux ont prétendu qu’il s’agissait d’un journaliste tué alors qu’il filmait, sans aucune mention à son affiliation au Hamas.

Citant un officiel militaire israélien, le rapport a confirmé que Murtaja était membre de l’organisation terroriste du Hamas et avait servi en tant que Nakib (capitaine) au sein de son service de sécurité interne. Les sources israéliennes ont déclaré que leurs services de renseignements avaient précisé que Murtaja agissait de manière quotidienne au profit du Hamas.

Plusieurs incidents semblables, impliquant des membres des médias agissant en leur seconde peau de terroristes, avaient été révélés au cours de l’opération bordure protectrice de l’été 2014.

Israël a noté que le Hamas exploité les manifestations à la frontière comme une couverture pour atteindre son réel but, qui consiste en réalité à détruire la barrière de sécurité, et a donc annoncé que le pays ne tolereait aucune brèche. Tsahal a déclaré que vendredi dernier, des manifestants avaient utilisé plusieurs engins explosifs et bombes incendiaires, et que plusieurs tentatives de franchir la barrière avaient été déjouées.

Israël a déjà prouvé que la large majorité des personnes tuées au cours des affrontements à la frontière étaient des terroristes.

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