A view of Israel's border with Syria. (IDF) A view of Israel's border with Syria. (IDF)

Les forces syriennes retiennent une israélienne qui s’était rendue en territoire syrien, exigeant la libération de deux prisonniers de sécurité détenus par Israël.

Par l’équipe d’Unis avec Israël et AP

Une israélienne de 25 ans ayant traversé la frontière par erreur a été arrêtée par les forces syriennes, qui ont exigé la libération des prisonniers de sécurité détenus en Israël.

Avec l’aide de la médiation russe, Israël a négocié sa libération.

Interrogé sur l’échange lors d’une interview avec la radio de l’armée israélienne, le Premier ministre Benjamin Netanyahou a déclaré qu’il utilisait ses relations personnelles avec le Président russe Vladimir Poutine pour résoudre le problème. Il a refusé de donner plus de détails, disant seulement qu’il travaillait de manière «discrète et responsable».

Parmi les prisonniers, Nihal al-Makt, a été assignée à résidence, purgeant une peine de trois ans avec sursis et se présentant quotidiennement pendant un an aux autorités israéliennes. Elle s’est exprimée depuis chez elle à la télévision syrienne plus tard mercredi.

«Je suis libre dans mon pays, sans conditions et sans autorité [israélienne] sur moi», a déclaré al-Makt à la télévision syrienne Al-Ikhbariya, parlant via Skype après l’échange.

Al-Makt vit dans la partie israélienne du plateau du Golan mais s’identifie comme syrienne et a été mise en examen pour incitation à la haine, selon les médias syriens. Mercredi après-midi, elle a déclaré à Al-Ikhbariya TV qu’elle avait été libérée de l’assignation à résidence.

Elle a affirmé qu’Israël lui avait demandé de déménager à Damas, condition pour mettre fin à sa peine. Mais elle a refusé et, après la médiation de Moscou, a été autorisée à rester à Majdl Shams, un village du Golan israélien.

Le frère d’Al-Makt a passé près de 30 ans dans la prison israélienne, mais a été libéré lors d’un échange de prisonniers l’année dernière, également médiatisé par la Russie, après que la Syrie a rendu la dépouille d’un soldat israélien tué dans une bataille de 1982.

L’autre prisonnier impliqué dans l’incident de cette semaine est Ziyab Qahmouz, qui vit également en Israël, mais s’identifie comme syrien. Il a été condamné à 16 ans de prison pour son rôle dans la planification d’un attentat à la bombe dirigé par le groupe terroriste Hezbollah soutenu par l’Iran.

Qahmouz aurait contacté des terroristes du Hezbollah au Liban, qui ont fourni des explosifs destinés à faire sauter les gares routières de Haïfa.

La famille Qahmouz a des liens étendus avec le Hezbollah. Le patriarche de la famille est Sa’ad Qahmouz, un trafiquant de drogue qui réside maintenant au Liban et est membre de l’organisation terroriste.

Ziyab Qahmouz est resté en détention israélienne mercredi, a indiqué la chaîne de télévision Al-Ikhbariya.

L’agence de presse syrienne SANA a déclaré que la femme israélienne était entrée par erreur dans la province syrienne de Quneitra et avait été placée en détention syrienne. Les responsables israéliens ont refusé de commenter. Il n’y a eu aucun commentaire russe immédiat.

Les médias israéliens ont rapporté mardi soir que le gouvernement israélien s’était réuni pour délibérer sur un incident récent lié à la Syrie.

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