Dans le test de physique, les étudiants palestiniens devaient calculer la distance parcourue par un assassin terroriste pour commettre son prochain attentat.
Par Nan Jacques Zilberdik, Palestine Media Watch via The Algemeiner
Le terroriste Uday Al-Tamimi a assassiné une sergente soldate israélienne de 18 ans, Noa Lazar, et blessé un agent de sécurité israélien lors d’une fusillade dans le nord de Jérusalem le mois dernier. Dix jours plus tard, il a de nouveau attaqué et blessé un autre garde de sécurité israélien à Ma’ale Adumim, à l’extérieur de Jérusalem, avant que les gardes ne parviennent à l’abattre en premier.
En raison de ses attaques, Al-Tamimi est déjà apparu dans une question d’examen de physique dans une école palestinienne.
Les élèves ont été invités à calculer « le chemin du Martyr » de sa maison à sa dernière attaque :
« B. Le schéma ci-contre présente le chemin du martyr Uday Al-Tamimi, qui est parti du camp de réfugiés de Shuafat vers l’entrée de la colonie de Ma’ale Adumim selon le dessin ci-joint. Calculez :
1. La distance réelle parcourue par le martyr depuis le moment où il a quitté le camp de réfugiés jusqu’à ce qu’il atteigne la colonie de Ma’ale Adumim.
2. La position relative entre le camp de réfugiés de Shuafat et le lieu de sa mort en tant que martyr sur la place de la colonie de Ma’ale Adumim.
3. Si le Martyr avait pu retourner à l’endroit d’où il était parti dans le camp de réfugiés de Shuafat, quelle serait sa position relative ? »
[Donia Al-Watan, agence de presse palestinienne indépendante, 27 octobre 2022]
Il s’agit d’un exemple illustratif de la jeunesse palestinienne à qui l’on enseigne que les terroristes meurtriers sont des héros, une politique de l’Autorité palestinienne, comme Palestine Media Watch l’expose depuis des décennies.
De cette manière pratique, à travers une question « innocente » dans un test, les attaques terroristes des « martyrs » ont été glorifiées et les enfants ont appris que tuer des Juifs innocents était louable.
L’auteur est analyste principal pour Palestine Media Watch, où une version de cet article est parue pour la première fois.