L’attaque contre la ville syrienne de Homs, dans l’ouest de la Syrie, aurait entraîné la mort du commandant du Hezbollah Imad al-Amin et du haut responsable du CGRI Ahmad Qurayashi.
Par l’équipe d’Unis avec Israël
Selon les médias israéliens et arabes, une frappe aérienne israélienne en Syrie aurait tué jeudi un commandant du Hezbollah et un haut responsable du Corps des gardiens de la révolution islamique d’Iran.
La frappe sur la ville syrienne de Homs, dans l’ouest de la Syrie, a tué le commandant du Hezbollah Imad al-Amin et le haut responsable des pasdarans Ahmad Qurayashi.
Israël a confirmé avoir mené de nombreuses frappes en Syrie pour empêcher l’enracinement de l’Iran. Cependant, Jérusalem commente rarement des opérations spécifiques.
Qurayashi aurait combattu en Syrie pendant des années et aurait participé à des opérations avec Qassem Soleimani, le commandant du CGRI assassiné à Bagdad en 2020 par les États-Unis.
Selon un rapport non confirmé d’Asharq al-Awsat, la Russie « [a] perdu patience » avec les frappes d’Israël en Syrie. Le journal basé à Londres a rapporté que « Moscou a reçu la confirmation que Washington ne cautionnait pas pas les raids israéliens continus ».
Sur la base de cette compréhension, la Russie aurait renforcé les défenses aériennes syriennes. Damas a affirmé avoir intercepté de nombreux missiles israéliens jeudi, bien qu’il fasse fréquemment de telles affirmations non vérifiées.