Aucun mot ne pourrait résumer l’horreur et la barbarie des faits: une israélienne de sept ans a été violée et frappée par un palestinien sur le sol israélien.
Par Hanna Partouche, Directrice de rédaction chez Unis avec Israël
La barbarie semble bien avoir atteint son summum.
Après une enquête judiciaire de plusieurs semaines, les faits ont enfin été rendus publics: un palestinien de la ville de Deir Qaddis a violé, sur le sol israélien, une fillette israélienne âgée de seulement sept ans.
Comble de l’horreur: le bourreau connaissait bien sa victime, puisqu’il était employé en tant qu’agent d’entretien au sein de son établissement scolaire, et avait tissé, de longs mois durant, des liens étroits avec elle, lui offrant notamment régulièrement des friandises. Sordide préméditation.
Avant son curel passage à l’acte, le palestinien a réussi à attirer la fillette (les détails n’ont pas été révélés) dans une maison voisine de l’école. Là, avec l’aide d’au moins deux complices qui tenaient la fillette tout en lui hurlant « tu l’as mérité », il a frappé et violé la toute jeune israélienne, de longues et interminables minutes durant. La vicitime a par la suite été relâchée, après plusieurs lourdes menaces visant à la dissuader de raconter l’enfer tout juste vécu.
Si l’auteur présumé du viol barbare a depuis été arrêté, ses complices sont toujours activement recherchés par les forces de sécurité israéliennes. La petite victime est, quant à elle, actuellement prise en charge sur le plan psychologique, un travail qui promet d’être très long.
Plusieurs hommes politiques israéliens, bouleversés par l’horreur des faits, ont partagé sur les réseaux sociaux leur dégoût comme leur indignation, à l’instar du Premier ministre Benjamin Netanyahou, qui a déclaré:
“Nous sommes tous profondément choqués après avoir appris qu’une petite fille a été violée. Je tiens à adresser mon soutien à la famille de la victime. Les tribunaux doivent juger et punir de la manière la plus sévère qui soit les responsables de cet acte effroyable”. D’autres appellent déjà à l’application de la peine de mort à l’encontre des auteurs.
Au-delà de la vive émotion que suscite ce viol, qui rappelle tristement celui de la jeune Ori Ansbacher, 17 ans, violée et décapitée il y a seulement quelques mois par un terroriste près de Jérusalem, il implique de lourdes questions, auxquelles la justice sera tenue de répondre: ces viols constitueraient-ils une nouvelle forme de terrorisme arabe et/ou palestinien contre le peuple israélien?
Si la réponse semble évidente pour une grande partie de la population israélienne, il incombe à la justice trancher, et punir comme il se doit ce dernier acte horrifiant.