Prévu pour débuter le 6 septembre, il désigne des zones vertes, jaunes, orange ou rouges et impose des restrictions basées sur les taux d’infection.
Par JNS
Le cabinet ministériel israélien en charge du coronavirus a approuvé dimanche un nouveau plan pour lutter contre la pandémie.
Conçu par le coordinateur du projet Coronavirus Roni Gamzu, le plan «feux de signalisation», qui impose des restrictions COVID-19 sur différentes zones en fonction de leurs niveaux de risque, devrait entrer en vigueur le 6 septembre, a rapporté la Douzième chaîne israélienne.
Selon le rapport, chaque zone du pays sera désignée comme étant verte, jaune, orange ou rouge, en fonction de son taux d’infection, le rouge représentant le plus élevé et le vert le plus bas. Chaque zone à code couleur sera soumise à un ensemble différent de restrictions et recevra différents types de soutien de la part d’un centre de commandement du coronavirus qui sera bientôt établi, en coordination avec le Home Front Command.
Le rapport prévoit que dans les zones «rouges», un maximum de 20 personnes seront autorisées à se rassembler dans des espaces ouverts, et seulement 10 dans des espaces clos. Dans les zones «orange», un maximum de 50 personnes seront autorisées dans les espaces ouverts, avec pas plus de 40 pourcents d’occupation totale, et 25 dans les zones fermées, avec pas plus de 20 pourcents d’occupation totale.
Dans les zones «jaunes», jusqu’à 100 personnes seront autorisées à se rassembler dans des espaces ouverts, avec pas plus de 60 pour cent d’occupation totale, et jusqu’à 50 dans des espaces clos, avec pas plus de 40 pour cent d’occupation totale.
Les espaces «verts» permettront des rassemblements jusqu’à 250 personnes dans des espaces ouverts, avec un taux d’occupation total maximum de 80%, et jusqu’à 100 personnes dans des espaces clos, avec un taux d’occupation total maximum de 60%.
Selon les données du ministère israélien de la Santé, lundi après-midi, il y avait 115 057 cas confirmés de COVID-19, dont 20 334 actifs. Il y avait 453 patients dans un état grave, dont 123 sous respirateurs et 185 patients dans un état modéré, le nombre national de décès atteignant 922.