L’hymne national israélien, l’Hatikva, est bâti sur des paroles pleines d’espoir.
Une notion qui prend définitivement tout son sens à travers cette version: l’hymne est joué en Israël, à Jérusalem, et à l’aide de violons ayant appartenu à des victimes de la Shoah.
C’est plus de cinquante ans avant la déclaration d’Indépendance de l’Etat d’Israël qu’à été écrite l’Hatikva, qui deviendra l’hymne national de l’Etat hébreu.
A travers des paroles pleines de sens, l’Hatikvah – qui signifie «L’Espoir» en hébreu – se réfère au rêve vieux de 2 000 ans du peuple juif de retourner en Terre d’Israël. (« Aussi longtemps qu’en nos cœurs vibrera l’âme juive, et tournée vers l’Orient aspirera à Sion, notre espoir n’est pas vain, espérance bimillénaire d’être un peuple libre sur notre Terre, le pays de Sion et de Jérusalem« ).
Durant les heures les plus sombres de l’Holocauste, cet hymne a constitué une réelle source de courage pour les victimes juives, dont plusieurs ont défié leurs bourreaux en prononçant sous leurs yeux les puissantes paroles de cette chanson.
Découvrez-en une version de l’Hatkiva telle que vous ne l’avez jamais entendue: jouée au cœur de Jérusalem, capitale de cet Etat hébreu tant désiré, à l’aide de violons ayant appartenu à des juifs du temps de la Shoah.
Frissons garantis!