Depuis son investiture, le Président Trump a fermement soutenu la sécurité d’Israël en adoptant des mesures immédiates.
Par Nosson Shulman, guide touristique agréé
Presque tous les sondages d’opinion auprès des israéliens et des partisans de l’État hébreu indiquent que le Président Donald Trump est largement considéré comme le Président le plus pro-israélien de tous les temps.
Qu’il s’agisse de sondages informels ou plus officiels, les résultats sont frappants : la popularité de Trump en Israël atteint des sommets. Un sondage de 2019 a même révélé que 79 % des israéliens le soutenaient, contre seulement 10 % contre lui.
Si l’on compare cela aux administrations précédentes, comme Obama et Carter, qui étaient souvent perçus comme hostiles à Israël, ou Clinton et Bush père, qui, bien que n’étant pas exactement anti-israéliens, ont parfois poussé Israël dans des situations difficiles, la position de Trump se démarque. Et maintenant, une semaine seulement après le début de son second mandat, Trump a déjà pris des mesures aux conséquences importantes pour le plus important allié des États-Unis au Moyen-Orient. Alors que son second mandat est en cours, voici cinq mesures clés qu’il a déjà prises pour démontrer son soutien indéfectible à Israël (et ce n’est que le début) :
5) Lever les sanctions imposées par Biden sur les « colons » juifs

Crédit photo : Shutterstock
Dès son premier jour de mandat, le Président Donald Trump a pris des mesures rapides pour soutenir Israël en levant les sanctions contre les colons juifs de Judée-Samarie, également connue sous le nom de Cisjordanie, qui avaient été injustement imposées par l’administration Biden. Ces sanctions avaient gelé les avoirs de nombreux résidents juifs innocents de la région, les punissant simplement pour avoir vécu et construit dans leur patrie biblique. Grâce à l’intervention de Trump, le Trésor américain a officiellement levé ces sanctions.
La Judée-Samarie revêt une profonde signification historique et religieuse pour le peuple juif, et la décision de Trump d’annuler ces sanctions constituait un rejet clair des politiques qui cherchaient à délégitimer la présence d’Israël sur leur propre terre sacrée.
4) Couper tout financement de l’UNRWA de façon permanente
Les États-Unis sont le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation des Nations Unies (ONU), contribuant à hauteur de 22 % de son budget. L’ONU, en retour, tourne régulièrement le dos aux intérêts américains ! L’un des organismes les plus dangereux et les plus controversés de l’ONU est l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA). Les États-Unis lui donnent environ 350 millions de dollars par an, soit environ 30 % de ses fonds. Mais cette organisation a un côté sombre qu’on ne peut ignorer.
L’UNRWA gère des camps de réfugiés où des millions de palestiniens vivent depuis des décennies. Ils sont coincés dans un cycle tragique : les pays d’accueil arabes ne les laissent pas s’intégrer, et ces camps sont les seuls foyers qu’ils ont connus. Et le pire, c’est que l’UNRWA permet aux parents de transmettre leur statut de réfugié à leurs enfants, ce qu’aucun autre groupe au monde n’est autorisé à faire. Cela crée une crise sans fin dont l’ONU est en grande partie responsable.
Ce qui est encore plus choquant, c’est que l’UNRWA contrôle environ 40 % des écoles de Gaza, où les jeunes enfants sont nourris d’une idéologie dangereuse, apprenant à haïr l’Occident et les juifs tout en glorifiant la violence et le djihad. Pire encore, de nombreux hauts responsables de l’UNRWA ont des liens avec le Hamas, le groupe terroriste responsable d’attaques horribles. Par exemple, Fateh Sherif Abu el-Amin, le président de l’Association des enseignants de l’UNRWA, était un haut commandant et recruteur du Hamas, et a été tué par Israël en 2024.
Et ce n’est pas tout. L’aide que l’UNRWA prétend fournir atteint rarement les personnes qui en ont besoin. Au lieu de cela, les membres du personnel utilisent souvent les fonds pour mener des opérations de marché noir, profitant de la situation désespérée. Au cours de son premier mandat, le Président Trump a pris une décision audacieuse en coupant tout financement américain à l’UNRWA, déclarant qu’il était ridicule que les contribuables américains soutiennent une organisation qui répand la haine et soutient le terrorisme.
L’ancien Président Biden a rapidement et sans vergogne rétabli le financement lorsqu’il a pris ses fonctions. Plusieurs mois après le massacre de juifs le 7 octobre, il a été révélé, sans surprise, que de nombreux membres du personnel de l’UNRWA étaient directement impliqués dans la tentative de génocide. Cela a conduit Biden à couper temporairement le financement de l’organisation soutenant le terrorisme. Il semble que Biden ait envisagé de rétablir le financement, mais la nouvelle administration Trump a désormais rendu ces coupes permanentes.
3) Désigner les Houtis, soutenus par l’Iran, comme terroristes

Crédit photo : Shutterstock
Le Président Donald Trump a reclassé les rebelles houthis au Yémen comme organisation terroriste étrangère, annulant ainsi la décision du Président Biden de retirer le groupe de la liste des organisations terroristes (que le Président Trump avait mise en œuvre lors de son premier mandat). Malgré l’hostilité bien documentée des Houthis envers les États-Unis et leurs alliés, notamment des dizaines d’attaques de missiles contre des navires de guerre américains depuis 2023, Biden avait retiré le groupe de la liste, invoquant des inquiétudes quant au fait que cette classification pourrait entraver l’aide humanitaire au Yémen. Cependant, le décret de Trump souligne le grave danger posé par les Houthis, en particulier leur haine intense envers Israël. Depuis octobre 2023, les Houthis ont intensifié leur agressivité, lançant des frappes de drones vers Israël et ciblant les voies de navigation commerciale de la mer Rouge, le tout en soutien au Hamas, à l’Iran et au Hezbollah.
Soutenus par la Force Quds du Corps des gardiens de la révolution islamique iranienne (IRGC-QF), les Houthis ont démontré un engagement clair en faveur de la destruction d’Israël. La nouvelle désignation de Trump souligne la nécessité de faire face à cette menace soutenue par l’Iran, en garantissant la protection des forces américaines, de ses alliés et de la stabilité mondiale. Avec cette décision, Trump réaffirme son engagement à combattre le terrorisme et à protéger les intérêts américains et israéliens dans la région.
2) Construire le Cabinet le plus pro-israélien de l’Histoire

Crédit photo : Shutterstock
Le Président Trump a nommé un cabinet largement pro-israélien, renforçant l’engagement de son administration envers l’État hébreu. Le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a récemment fait la une des journaux pour son discours appelant à la reconstruction du Temple juif à Jérusalem. La future ambassadrice des États-Unis à l’ONU, Elise Stefanik, a également fermement soutenu les droits d’Israël, affirmant qu’Israël disposait d’un droit biblique sur toute la région de Judée et de Samarie (Cisjordanie).
L’ancien gouverneur Mike Huckabee, défenseur de longue date d’Israël, a été nommé ambassadeur des États-Unis en Israël. Huckabee a toujours soutenu le droit d’Israël à annexer la Judée et la Samarie bibliques, soulignant leur importance pour l’identité religieuse et historique d’Israël. Il a également joué un rôle clé dans la célébration du transfert de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem en 2017. Le secrétaire d’État Marco Rubio a également été un allié indéfectible, défendant le renforcement des liens entre les États-Unis et Israël et soutenant le retrait de Trump de l’accord sur le nucléaire iranien. Avec ces nominations, le président Trump a assuré que son administration continuerait à défendre la sécurité et la souveraineté d’Israël.
1) Exhorter la Jordanie et l’Égypte à reloger les Arabes de Gaza

Crédit photo : Ambassade des États-Unis en Jordanie
Le Président Donald Trump a suggéré la possible relocalisation massive des Gazaouis vers des pays comme la Jordanie et l’Égypte, dans le but de nettoyer la zone ravagée par le conflit et de prendre un nouveau départ. S’exprimant à bord d’Air Force One, Trump a révélé qu’il avait discuté de l’idée avec le roi Abdallah II de Jordanie et qu’il prévoyait de s’entretenir avec le Président égyptien Abdel Fattah Al-Sisi à propos de la proposition. Trump a estimé que jusqu’à 1,5 million de palestiniens pourraient être relocalisés, contribuant ainsi à résoudre la crise actuelle à Gaza, qu’il a décrite comme un « véritable désordre » avec « presque tout démoli » en raison des actions du Hamas.
Trump a félicité la Jordanie d’avoir déjà accepté un certain nombre de Gazaouis et a encouragé le pays à en accueillir davantage (la Jordanie est déjà à 70 % palestinienne). Il a présenté la relocalisation comme une solution potentielle à la fois au désastre humanitaire à Gaza et à l’instabilité plus large de la région, suggérant que cette mesure pourrait être temporaire ou à long terme. Bien que l’idée de relocaliser les habitants de Gaza ait suscité un débat international, Trump reste déterminé à travailler avec les pays arabes voisins pour trouver un moyen pratique d’apporter la paix dans la région.
Nosson Shulman est un guide touristique agréé et organisateur de voyages en Israël, spécialisé dans les circuits historiques, bibliques et d’aventure. Pour les itinéraires, cliquez ici. Découvrez ses nouvelles visites virtuelles, notamment des vidéos d’aperçu gratuites.
Do You Love Israel? Make a Donation - Show Your Support!
Donate to vital charities that help protect Israeli citizens and inspire millions around the world to support Israel too!
Now more than ever, Israel needs your help to fight and win the war -- including on the battlefield of public opinion.
Antisemitism, anti-Israel bias and boycotts are out of control. Israel's enemies are inciting terror and violence against innocent Israelis and Jews around the world. Help us fight back!